C'est en agissant sur les « énergies rouges » qu'on produit le plus grand effet sur la réduction des émissions de carbone. Nous sommes donc favorables à des objectifs drastiques pour ces énergies très carbonées, en laissant les énergies vertes se développer selon une trajectoire raisonnable, sans prévoir d'objectif trop élevé qui pourrait, notamment en termes de production électrique, avoir des conséquences sur l'équilibre du réseau et la gouvernance nationale. Nous proposons donc de porter la part des énergies renouvelables à 20 %.