Nous ne souhaitons pas une diminution drastique du nucléaire, et nous pensons en outre qu'une substitution massive d'énergie renouvelable électrique au nucléaire est impraticable, car, d'après l'Union française de l'électricité (UFE), cela représente 35 gigawatts d'éolien, 70 gigawatts de photovoltaïque, et coûterait 200 milliards d'euros. Nous préférerions donc une trajectoire moins raide pour les énergies renouvelables. Ce n'est pas une trahison : la différence entre les deux trajectoires est de trois points seulement.