Les 32 % renvoient à l'ensemble des énergies renouvelables, dont la part, aujourd'hui, n'est que de 14 %. Cela représente un saut quantitatif très important, et, si l'on peut aller plus vite – en pariant sur la baisse du prix d'installation des EnR –, nous le ferons, dans le cadre de la PPE. Mais il serait contre-productif d'afficher d'emblée dans la loi des objectifs qui ne sont pas crédibles aux yeux des opérateurs économiques et des acteurs de la filière industrielle des énergies renouvelables. Faisons confiance à ceux dont c'est le métier et qui ont tout intérêt, par ailleurs, au développement massif des énergies renouvelables. Donnons-nous rendez-vous dans un an pour un point d'étape qui permette d'évaluer la montée en puissance de nos capacités.