Il importe que le projet ITER soit mentionné dans le texte, car, même si le nucléaire de troisième et de quatrième génération est abandonné, cela ne doit pas affecter la recherche scientifique sur la fusion. Cela permettrait de montrer que la France tiendra ses engagements internationaux.
L'amendement CS530 concerne de même les investissements réalisés dans les réacteurs de quatrième génération. Comme le texte ne dit rien sur l'avenir du parc, nous risquons de nous retrouver, du fait de décisions que nous aurons prises par défaut, dans l'incapacité de basculer dans la quatrième génération, qui présente pourtant beaucoup moins d'inconvénients, notamment au niveau des déchets.