Notre Délégation a souhaité se pencher sur le sujet de la précarité énergétique chez les femmes, passé sous silence dans l'étude d'impact du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte.
Selon les une note que vous nous avez communiquée, madame Devalière, il s'agit d'« étudier la population pauvre et modeste qui, pour atteindre un niveau de confort convenable, doit avoir des dépenses d'énergie qui la font basculer sous le seuil de pauvreté (60 % des revenus médians) ». Cette approche, autre que celle des 10 % de taux d'effort énergétique, nous semble intéressante.
Nous souhaitons donc connaître votre approche sur le sujet, ainsi que vos propositions visant à améliorer la situation des ménages pauvres et donc des femmes pauvres, propositions dont nous pourrons nous inspirer pour amender le projet de loi.