Monsieur Aubert, il n'est pas question pour moi de modifier le rythme de nos débats. D'autre part, l'organisation des travaux de la Commission n'a pas été modifiée, et le Gouvernement n'est pas concerné. Chacun a reçu une convocation qui mentionnait trois séances demain samedi. Je comprends que certains ne puissent y assister, mais personne n'a été pris au dépourvu. Il arrive à l'Assemblée nationale de travailler le samedi : les précédents sont nombreux.