Je soutiens l'amendement, qui reprend en effet celui que nous avions adopté à l'unanimité en commission du développement durable lors de l'examen du projet de loi sur la biodiversité. Le fait d'avancer l'échéance donnerait une impulsion, et le 1er mai 2016 ne serait pas une date couperet ; c'est au demeurant celle qui figurait dans la proposition de loi initiale, adoptée au Sénat à l'initiative d'un membre du groupe écologiste.