La définition de l'économie circulaire donnée par Mme la rapporteure dans son amendement me paraît beaucoup moins dangereuse que celle de M. Lambert. Alors que celui-ci veut plafonner la consommation, elle se contente de vouloir la limiter. Tandis qu'il promeut la réutilisation des matières premières, elle appelle à réutiliser en priorité les matières premières secondaires, que l'homme a déjà transformées.
Mon point de désaccord avec elle porte cependant sur la notion de sobriété. Notre collègue Charles de Courson nous a expliqué qu'un homme sobre est un homme qui ne boit pas.