Je sens tout de même des encouragements à retrouver ce ton que nous avions en commission, avec des échanges de qualité. Je sais que ceux qui sont partis avant la fin le regrettent, et c’est un grand moment de solitude que nous avons vécu en vous écoutant, monsieur Saddier. J’entendais une plate-forme de revendications d’un député qui n’avait même pas fait le service minimum en commission et qui en demandait plus.
Vous avez siégé 40% du temps de nos travaux, ce n’est déjà pas si mal.