Les débats qui ont eu lieu pendant la discussion générale montrent que quatre points essentiels n’ont pu être abordés avec la sérénité requise, non seulement en raison d’un calendrier trop serré – je n’y reviens pas –, mais aussi, et surtout, faute d’une volonté gouvernementale de rechercher un consensus à leur sujet. Un tel consensus était pourtant nécessaire sachant que l’examen d’un projet de loi sur l’énergie implique de construire l’avenir et de raisonner sur une échelle de temps se comptant en décennies.
Tout d’abord, nous n’avons pas clairement abordé la question du prix du kilowattheure.