Monsieur le Premier ministre, il y a quelques jours, dans un entretien à la presse, vous indiquiez que la France refuserait « la transcription automatique » des actes de filiation d’enfants nés par GPA à l’étranger ; un entretien dans lequel vous suspendiez toute décision d’ouverture de la PMA aux couples de femmes à un avis du Comité consultatif d’éthique ; un entretien dans lequel vous n’évoquiez plus la loi sur la fin de vie que comme une éventualité.
Monsieur le Premier ministre, je pourrais vous demander aujourd’hui qui il faut croire : le Manuel Valls qui se prononçait pour une GPA encadrée en 2011 ou le Premier ministre d’aujourd’hui ?