Contre ces phénomènes, l’État et nos institutions doivent jouer pleinement leur rôle. C’est l’État qui garantit le respect des grands principes fondateurs de notre vie en société. Le premier des principes, c’est que les personnes, les êtres humains, ne sont pas des choses et sont donc hors commerce. C’est le fondement même de notre droit civil – d’où la position que j’ai rappelée.
Le second principe, c’est que l’humain n’est pas un terrain d’expérimentation.