En disant cela, madame la députée, je n’ignore pas la souffrance de ceux qui voudraient tant transmettre et ne nie pas le désir inassouvi d’enfants. Cette souffrance, chacun d’entre nous peut l’entendre.
Madame la députée, vous me reprochez d’avoir changé d’avis. Oui, face à un marché agressif, à l’asservissement des plus faibles, à la crise morale et à la crise d’autorité qui frappent notre société, l’État doit adopter une position à la fois claire, ferme et bienveillante.