J’assume ce changement car, dans le débat, on peut changer d’avis et défendre ce qui est la position actuelle du Gouvernement.
Je ne l’oublie pas, il existe des enfants nés par GPA à l’étranger qui vivent en France, ramenés par des personnes qui sont là-bas leurs parents mais ne le sont juridiquement pas ici. Ces enfants ne sont pas responsables de la situation dans laquelle ils sont placés par le choix de ce mode de procréation illicite.
La famille a aussi besoin de stabilité. Ne la fragilisons pas en la transformant en objet de débats partisans et de slogans.