Je n’ai pas la langue de bois.
Vous avez posé une question. On exporte des grumes. Depuis combien de temps ? Depuis plus de dix ou quinze ans, la forêt française exporte des produits bruts, non transformés. Vous dites qu’il y a de l’inaction aujourd’hui. Je pourrais vous renvoyer le compliment, monsieur Abad.