Revenons à l’incident de cette nuit, qui met en évidence deux principes, à commencer par celui du respect de la présidence.
Ceux qui assistent à nos travaux depuis le début de l’examen de ce texte s’en souviennent : la séance, présidée par Mme Vautrin, a déjà été suspendue au nom de ce principe. Nous l’avons accepté et, à la suite d’une conférence des présidents, M. le président Claude Bartolone a rappelé l’importance de ce principe. Ce qui vrai pour l’un doit l’être aussi pour l’autre.