Mme Mazetier m’a alors menacé, si je persévérais, d’inscrire ce fait au procès-verbal. Ne comprenant pas quelle faute j’avais commise, je lui ai répondu qu’elle faisait d’un sujet grammatical un problème politique mais qu’elle était libre d’agir comme elle le souhaitait. À aucun moment il n’a été précisé que l’inscription au procès-verbal entraînait une retenue sur l’indemnité parlementaire.