Or la féminisation des fonctions est inscrite dans l’instruction générale du Bureau depuis 1998 et a été rappelée par le Bureau lors de sa réunion du 11 octobre 2000. Il s’agit donc non pas d’une nouveauté, mais d’un usage parlementaire codifié qui constitue l’expression du respect le plus élémentaire dû à nos collègues féminines.
Après un premier rappel à l’ordre, M. Aubert a refusé d’obtempérer et a continué à s’adresser à « Mme le président ». À l’évidence, il s’agissait d’une attitude provocatrice remettant en cause l’autorité de la présidence.