En même temps, c’est le minimum que vous puissiez faire. Mais c’est vrai que nous avons parfois du mal à suivre ces débats complexes et subtils, sans doute parce que le travail en commission a parfois été un peu rapide.
Nous proposons de donner une dimension concrète aux TEPOS. Un territoire, cela a des limites et, en la matière, nous n’avons pas véritablement tranché. On voit bien que les régions ont une dimension particulière au regard de cette transition énergétique, les départements se sont plaints de ne pas être mentionnés dans le projet, les communautés de communes peuvent avoir une place dans le diagnostic énergétique ou la rénovation des bâtiments.
Nous souhaitons donc que les expérimentations de territoires à énergie positive partent des postes sources, des postes de transformation, des points de jonction, bref du réseau qui existe, afin que l’on ait une base réelle, concrète, pour définir ensuite le périmètre qui semble le plus adapté.
Il y a toujours en toile de fond l’idée que les TEPOS doivent s’articuler avec ce qui existe déjà, que l’articulation entre nos réseaux actuels et les futures productions locales se fasse dans l’harmonie et, le plus possible, avec pragmatisme.