Le principe d’un territoire à énergie positive est de constituer un réseau fermé d’utilisateurs qui pourront interagir en fonction de leur propre équilibre de l’offre et de la demande. Pour cela, il est impératif de ne pas négliger l’apport du déploiement des technologies de gestion active de l’énergie.
C’est un point sur lequel il faut insister, dans la mesure où le thème de la gestion active de l’énergie est un peu occulté. Il existe des capteurs qui pilotent les besoins dans chaque pièce, qui pilotent les intermittences. Un projet européen, le projet Homes, a montré que l’on pouvait faire de 20 à 60 % d’économies d’énergie. La gestion active est moins coûteuse que d’autres technologies, on parle de 50 euros par mètre carré, et c’est une norme européenne qui n’est pas transposée et qui n’est pas appliquée totalement dans notre pays.
Néanmoins, j’ai entendu un certain nombre de remarques sur le fait que l’article 1er contenait trop d’éléments et je retire cet amendement pour le reprendre à l’article 5.