Demain, si l’UMP change de président, le nouveau président pourra dire : « Moi, je considère que… »
Mais le vrai clivage, président Brottes, est entre ceux qui veulent adopter la position de l’autruche, c’est-à-dire se planter la tête dans la terre, mais ne surtout pas creuser trop profond de peur d’y trouver du gaz de schiste, et ceux qui estiment qu’à un moment donné, il faut tout de même être un peu cohérent et évaluer ce qu’on possède avant d’en discuter l’utilisation. Je suis persuadé que si nous allions voir s’il y a du gaz de schiste – pour ma part, je suis contre –, nous nous apercevrions qu’il n’y en pas ou très peu, et du coup, on ferait gagner beaucoup de temps au Parlement parce que le débat n’aurait plus lieu d’être.