10 %, c’est ce qui peut être injecté sur le réseau. Mais la « productivité » de la transformation de l’électricité en gaz est beaucoup plus importante, par le biais de l’hydrogène. Il est vrai que le modèle économique n’est pas encore trouvé, mais les réseaux de haute tension, comme les réseaux de distribution, investissent chaque année entre 600 millions et un milliard pour faire face à l’intermittence des énergies renouvelables. Si nous réglons demain le problème de l’intermittence par le biais du stockage, ce surinvestissement n’aura plus de raison d’être. Les investissements pourraient ainsi être reportés sur le stockage. Nous avons là une démarche qui permet d’accélérer l’avènement d’un stockage vertueux.