Rien n'empêche l'État et le Parlement français de décliner la manière de réduire le pseudo-déficit structurel entre la partie recettes et la partie dépenses. Je perçois même, de la part de Mme Berger, la volonté de pousser la malice jusqu'à empêcher la possibilité, un jour, de réduire les prélèvements obligatoires, puisque le texte ne prévoit aucune mesure nouvelle en 2015, puis une baisse de 0,2 point de PIB en 2016 et en 2017, soit une réduction d'impôts de 4 milliards d'euros par an. Il faut bien faire rêver le bon peuple, même si cela n'arrivera pas !