S’agissant en revanche de l’élection du Président de la République française, chef des armées d’un État membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies et disposant de la capacité d’engager le feu nucléaire, le risque de voir germer l’idée dans certains esprits malveillants de tenter de pirater le vote doit être de mon point de vue considéré comme nettement plus avéré.
Et gardons à l’esprit, mes chers collègues, que le corps électoral concerné, vous l’avez dit dès le début de votre intervention, cher collègue Mariani, dépasse le million de citoyens !