Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, comme nous l’a montré cette discussion générale, cette proposition n’est ni de droite, ni de gauche, elle vise simplement à faciliter l’expression démocratique de nos compatriotes expatriés.
Monsieur le secrétaire d’État, pas un seul parlementaire représentant les Français de l’étranger ne s’oppose à cette proposition de loi.