Le nouveau dispositif a une pente plus forte, mais qui démarre plus tardivement : on peut avoir une entrée dans l'impôt à un taux plus élevé – jusqu'à 28 % pour un célibataire, au lieu de 14 %. Ce n'est pas tant le pourcentage qui compte, mais la différence, pour la même personne, par rapport à l'ancien système. Aurons-nous toujours le même ordre d'entrée et de progressivité dans l'impôt ? Pouvez-vous, madame la rapporteure générale, confirmer que chaque ménage sera effectivement avantagé ? Une personne qui payait moins qu'une autre ne paiera-t-elle pas plus après la mise en place du dispositif ?