Pour ma part, je soutiens l'amendement de notre président. Dans les offices publics de l'habitat (OPH), on va au-delà de l'aide fiscale et on finance jusqu'à 90 % ou 95 % des rénovations. L'excès d'aide peut être déraisonnable. Il serait intéressant que nous obtenions la consolidation de l'ensemble des aides pour savoir à quel taux global elles aboutissent. Outre le crédit d'impôt, il faut compter les aides de l'ANAH, des communes, des intercommunalités, de la région.