Il s'agit du premier de trois amendements de M. Dassault que j'ai cosignés afin de flécher l'épargne française, dont le taux avoisine les 16 %, vers les entreprises, particulièrement les PME.
Cet amendement propose de clarifier la situation des business angels qui prennent des risques en leur permettant de déduire les pertes résultant de leurs investissements de leur revenu global, pas seulement des bénéfices industriels et commerciaux.