Voilà une autre question, souvent soulevée, dont il pourrait être intéressant de débattre. Mais focaliser la discussion sur le fait de savoir si ce sont 48 % ou 52 % des foyers fiscaux qui devraient être imposables et dénoncer un jour une chose et le lendemain son contraire, ce n’est qu’un mauvais débat, qui contribue à accroître le sentiment d’injustice et d’inégalité devant l’impôt – lequel se situe, selon moi, à d’autres niveaux, et qui nécessitera probablement, le moment venu, un certain nombre d’évolutions.
Voilà, monsieur le président, ce que je voulais dire, avec peut-être un peu de passion – mais je m’arrête là, car je sens une certaine impatience à commencer la discussion des articles !