Même si les termes du débat sont bien connus, je veux bien y revenir : la vraie difficulté, c’est que tout ce qui n’est pas fait par la médecine de ville est pris en charge en milieu hospitalier, ce qui coûte évidemment plus cher. D’aucuns, qui sont peut-être un peu mauvaises langues, disent même que cela arrange parfois le milieu hospitalier, qui trouve là matière à des ressources opportunes. Peut-être sont-ce de mauvaises langues : je l’ignore. Cette idée circule en tout cas, et je crois que vous ne la contestez pas, monsieur le président.