Ce furent quarante minutes de trop, quarante minutes pendant lesquelles on a muselé le Parlement, on a voulu le bâillonner. Ce n’était pas acceptable. Nous avons donc maintenu la pression, avec nos collègues du groupe UDI. Vous avez bien fait de revenir sur votre décision ! Nous ne sommes plus dans une république du passé. Nous ne sommes plus dans des pratiques du passé. Que n’aurait-on entendu de votre part si nous avions fait cela lorsque nous exercions les responsabilités ! C’est la raison pour laquelle vous êtes enfin revenu à de meilleurs sentiments, dans le respect de la démocratie et du Parlement : vous avez bien fait ! Par conséquent, je m’arrête là s’agissant des suspensions de séance, monsieur le président, et la discussion va pouvoir reprendre son cours normal !