Monsieur le président, c’est surréaliste, je n’ai jamais vu ça ! Il faudrait que dans le débat budgétaire, le secrétaire d’État ou le ministre au banc se contente d’aligner des chiffres, sans parler des politiques qu’il y a derrière !
Mais enfin, contestez-vous au secrétaire d’État au budget la capacité de parler de la politique publique qu’entend mener le Gouvernement, y compris avec des agences qui je le rappelle sont financées par des prélèvements assimilés à des impôts et taxes de toute nature et dont les dépenses participent de ce qu’on appelle dans son ensemble « la dépense publique » ?
Votre serviteur est secrétaire d’État auprès d’un ministre, celui des finances et des comptes publics !