La deuxième, c’est que nous savons qu’il faut avoir vraiment confiance dans nos industries d’avenir. Disons-nous que ce défi climatique doit nous permettre de déclencher la croissance verte, la création d’emplois et la sortie de crise.
La troisième, c’est notre responsabilité à l’égard des pays qui subissent le plus durement le réchauffement climatique. Comme le disait Ban Ki-moon, au sommet de New York pour le climat, l’Europe est très attendue parce que, de l’accord qui sortira demain, dépendra la possibilité d’un nouveau souffle et d’un nouvel espoir pour obtenir, à Paris aussi, des engagements concrets et opérationnels.