Vous avez parfaitement raison, madame la présidente.
Cela étant, je suis extrêmement surpris par la réponse de M. Bapt. Ce qui compte pour notre société, c’est la santé du malade et surtout sa guérison. Nous ne parlons pas d’un laboratoire, mais d’un principe : existe-t-il des produits valables, et si oui, peuvent-ils guérir les malades ?
Or, grâce au progrès médical, nous assistons à l’apparition de nouveaux traitements et de nouvelles thérapeutiques.