qui s’appellent désormais les frondeurs, et la gauche sociale-démocrate qui essaie, tant bien que mal, d’abord de tenir des discours et ensuite d’engager des réformes dont le pays a évidemment un besoin pressant.
Il s’agit, mes chers collègues, d’une crise politique grave. Quarante-huit signataires ont cosigné cet amendement : cela montre à quel point la majorité elle-même est désormais menacée. Les frondeurs ont tout simplement l’obsession de taxer toujours plus les classes moyennes et les entreprises, comme en témoigne la solution proposée par M. Germain pour compenser le coût de cette mesure. En résumé, cette approche revient à écraser toujours davantage d’impôts les Français.