Le second est un besoin de marges de manoeuvre financières : l’utilisation de la fiscalité peut être un levier pour aider davantage les non-salariés, notamment les retraités, à accéder à la protection sociale complémentaire ; voilà un vrai sujet sur lequel nous devons continuer d’avancer.
Par conséquent, je retire mon amendement, monsieur le président.