J'ai fait partie d'une mission d'évaluation et de contrôle sur le français dans le monde, qui a auditionné tous les responsables des grandes chaînes internationales, et il se trouve que j'ai présidé pendant cinq ans la commission politique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie. Les débats sont les mêmes qu'ici. Où placer le curseur pour le français ? Peut-on assurer une heureuse mixité avec une autre langue, et une seule, que ce soit l'arabe, le portugais ou l'anglais ? Il y aussi la question du curseur financier. Les crédits qui nous sont proposés pour 2013 suffiront-ils ?