Non, monsieur Barbier, je ne suis pas d’accord. Que fait cette direction ? Pourquoi n’a-t-elle pas anticipé l’arrivée de ces génériques, alors qu’elle développe des stratégies dans le monde entier pour verser de l’argent à ses actionnaires ?
La France n’a pas à payer les stratégies économiques de ce laboratoire, qui perd des parts de marché dans les autres pays. Nous avons des gens à soigner dans notre pays et nous devons faire des économies. Il n’y a donc pas de raison de ne pas lancer en France ces aérosols génériques, avec toutes les conditions de sécurité sanitaire évoquées par les orateurs qui se sont exprimés en ce sens. Leur emploi sera limité à la primo-prescription, car les patients déjà traités avec d’autres aérosols continueront à les utiliser.