Sans contester l’intérêt d’une vérification trimestrielle des droits des personnes en cause, je voudrais appeler votre attention sur le poids de ces vérifications incessantes, non seulement pour les CAF, mais également pour les maisons départementales des personnes handicapées. Pourtant, même sans cela, les équipes qui animent ces structures seraient tout à fait à même, quand un cas leur paraîtrait douteux, de vérifier auprès de la personne la réalité de ses droits.
Nous devons par ailleurs être attentifs à la difficulté pour les personnes en situation de handicap de venir s’expliquer régulièrement sur leur situation, et être capables d’assouplir les procédures pour les adapter à la spécificité de ces situations.