On sait d’ores et déjà que les taux d’intérêt vont remonter à la fin de 2015 et qu’un point de plus représente 6 milliards de dépenses supplémentaires.
Vous prétendiez ici même, il y a quelques semaines, en répondant à Philippe Gosselin, que le budget français se faisait au Parlement français et non à Bruxelles et, aujourd’hui, comme prévu, vous proposez votre maigre plan B pour faire passer la pilule.
Il y a une seule vraie question : quand allez-vous sortir un plan C qui soit un véritable programme de réformes structurelles, indispensables aujourd’hui au redressement de notre pays ?