Monsieur le député, quel constat pouvons-nous faire ?
Depuis 1975, le produit intérieur brut de notre pays, c’est-à-dire sa richesse, a été multiplié par deux. Durant la même période, le nombre de chômeurs a, lui, été multiplié par quatre. Tout le monde y a pris sa part.
Le taux maximum de chômage – 10,8 % de la population active – a été atteint en 1996 ; il est aujourd’hui de 9,7 %. Et mon prédécesseur, en 1993, a fait baisser ce taux de 9,8 % à 9,7 %.
Face à cela, que faisons-nous ?