Cet amendement n’a pas été examiné par la commission des finances. À titre personnel, j’y émettrai un avis défavorable.
On l’a compris, il s’agit par cet amendement, qui n’est d’ailleurs associé à aucune ouverture ni annulation de crédit, de réparer ce qui s’est passé en 1948, sous l’autorité du gouvernement d’Henri Queuille, dans lequel siégeaient François Mitterrand, secrétaire d’État à la présidence du Conseil,…