L’argent est disponible ; il est attribué au crédit impôt recherche. La Cour des comptes a conclu qu’il s’agit d’une niche fiscale inefficace. Nous pourrions en faire un outil au service des PME, par exemple en le plafonnant pour limiter l’effet d’aubaine en faveur des multinationales. Les élus socialistes le réclamaient jusqu’en 2012 ; c’est ce que nous continuons d’exiger depuis.
Aujourd’hui, nous finançons la recherche privée quelle qu’elle soit, tandis que les priorités fixées par votre ministère restreignent la recherche publique à la recherche appliquée. C’est l’inverse qu’il faudrait faire !