Je sais que ça vous gêne, mes chers collègues, mais c’est la réalité et elle s’impose à vous.
Monsieur le ministre, compte tenu des dangers de plus en plus élevés qui menacent notre nation et de nos engagements dans le temps, nos armées méritent un autre budget.
Votre Gouvernement refuse de remettre en question ce recrutement inutile de 60 000 fonctionnaires supplémentaires à l’éducation nationale.