Je souhaite, monsieur le président, que vous saisissiez le président de l’Assemblée nationale de la manière dont se déroule l’ensemble de cette discussion budgétaire : nous n’avons que de faux débats, où l’essentiel est escamoté. Cela n’est pas digne de la République française !
J’en viens à trois points sur lesquels je souhaitais intervenir. Je ne ferai que les évoquer, car je sais, monsieur le président, que vous taperez bientôt avec votre petite règle pour me faire savoir que mon temps de parole est écoulé et que je dois me taire.