Dernier point, mon cher collègue. Pourquoi nos chers amis américains, dont vous êtes toujours prompts à suivre les volontés hégémoniques dans n’importe quelle aventure militaire en dépit de votre pacifisme affiché, sont-ils intéressés par l’ASMPA qui, en l’état, est ininterceptable ? Comment se fait-il, alors que nous sommes les seuls à détenir cette arme, que vous vouliez supprimer cet avantage technologique de notre pays alors que huit cents PME travaillent pour la dissuasion ?
Comme le disait mon collègue Jacques Myard, c’est criminel pour les générations à venir.