Ces 230 millions, ce n’est pas le budget de l’armée de l’air, mais le budget de la composante aéroportée.
Notre second amendement vise à réduire les crédits alloués aux études amont du domaine nucléaire, dont le coût est extrêmement important, et qui n’ont pas de retombées pour les forces classiques conventionnelles. Nous proposons d’abonder les crédits d’équipement pour le combat en milieu hostile. C’est là aussi un exemple concret de réaffectation de crédits. On fait des économies d’un côté, et on a des moyens supplémentaires de l’autre.
Je profite de l’occasion – et je ne reprendrai pas la parole ensuite, monsieur le président – pour demander à M. le ministre, même si cela n’a rien à voir avec l’amendement, mais plutôt avec l’actualité, de nous éclairer sur la question des BPC livrés à la Russie eu égard aux déclarations de responsables russes à ce sujet. Je vous remercie par avance.