Dans le cadre des missions attribuées à l’ONAC et dans la perspective des réformes à venir, je vous demande donc de veiller à ce que soient conservées la relation de proximité avec les départements et la possibilité, à cet échelon, pour les directeurs de mener des actions. Ceux-ci ont en effet une connaissance très précise des individus ; ce sont souvent eux qui sollicitent les anciens combattants pour qu’ils bénéficient de mesures que nous avons adoptées mais dont ils ignorent l’existence.
Merci donc de veiller à leur donner les moyens de poursuivre leur action et, surtout, avec les réformes globales qui s’annoncent, de ne pas éloigner les décisions des territoires : les anciens combattants en seraient les victimes. Mais c’est un autre débat.