S’agissant des différentes aides complémentaires, parmi lesquelles l’aide différentielle au conjoint survivant, il faut résoudre les problèmes juridiques qui se posent.
Nous devons revoir l’action sociale globale de l’ONAC pour répondre à ce qui devrait être la seule préoccupation de l’ONAC et des parlementaires : comment accompagner les ressortissants les plus fragiles et les plus démunis, ceux dont le niveau de rémunération est en-dessous du seuil de pauvreté, qu’il s’agisse ou non de veuves ? Cet accompagnement relève de la responsabilité de l’action sociale de l’ONAC et de son conseil d’administration, qui veillera à ce que la directrice générale de l’ONAC définisse des directives très claires.