Cette réforme est en réalité liée à une recommandation forte de la Cour des comptes qui avait réclamé davantage d’efficacité dans le cadre de l’utilisation des ressources en matière d’emploi et de formation professionnelle. C’est la raison pour laquelle ces crédits ont été aujourd’hui transférés aux chambres de commerce et d’industrie, en particulier aux régions.
En cohérence, cette subvention a été supprimée.
Par ailleurs, M. Amirshahi prévoit de réduire les crédits des contributions internationales, alors qu’il s’agit de crédits affectés, sanctuarisés, entre lesquels la fongibilité n’est pas possible. Avis réservé.